dimanche 17 août 2008

A deux ailes d'oiseau de chez nous


Quel est le lien entre Karin Waehner-1963, Jacqueline Toi-1971, Christine Brunel-1996, Barbara Falco-2003 et Patricia Borges Henriques, Sidi Graoui, Marianthi Psomataki-2008?

En 1963, Karin Waehner créait un solo de dnse contemporaine"Histoire de l'oiseau qui n'existait pas". Solo court mais exigeant parce que faisant appel en toute virtuosité aux différentes énergies nécessaires la danse contemporaine. En 1971, la créatrice l'apprenait à Jacqueline Toi. En 1996, c'est Christine Brunel qui le savait et en 2003, Barbara Falco le dansait.

En 2008, celle ci est venue l'apprendre à trois jeunes danseurs: Patricia Borges Henriques, Marianthi Psomataki et Sidi Graoui. C'est donc une belle histoire de transmission au coeur du mouvement. Patricia Borges Henriques et Sidi Graoui sont partie prenante de la compagnie Epiphane, compagnie fondée par Jean Masse. Voir leur site : http://cieepiphane.free.fr

Tout ceci se passait à l'invitation de Jean Masse et de Jacques Garros au centre Lafaurie de Castillon de Castets dans les premiers jours d'août 2008.

Pur moment de bonheur et d'exigence que la présentation publique ce mercredi 13 août. Pourquoi parler de ce travail? parce que c'est une incroyable richesse d'avoir un centre de danse de cette qualité et à la fois ouvert par des stages et des présentations publiques en Sud Gironde à un pas du réolais. Pendant cette université d'été, des stagiaires ont pu travailler sur le même thème autour du solo.

En 2007, Jean Masse avait demandé à ses danseurs de travailler à partir de mes sculptures et de faire le même travail de décryptage du mouvement. En voyant aujourd'hui les solos de Karin Waehner redansés, je me suis rendue compte de l'honneur qu'il m'avait fait. On peut retrouver trace de tous ces travaux sur le site du Centre Lafaurie ou sur http://benedikte.faugere.free.fr/

lundi 4 août 2008

Galerie où l'on peut parler des autres


Mimizan été 2008: Jusqu'au 12 août, les sculptures sont à la salle Maurice

Martin à Mimizan Plage avec sept autres artistes. La salle se trouve auprès de l'office du toutrisme, à cent mètres des plages. Chaque jour, deux cents personnes passent à la galerie.

Au centre de la photo: Jean Malret un peintre, à découvrir par ses couleurs résolument "jeunes et claires" et d'une grande douceur d'âme (c'est moi qui le dit). J'y ai trouvé une grande parenté avec mes propres sculptures, dans le mouvement décrit.

Dans la galerie aussi, Jean Jacques Dubreuil, pastelliste. Nouveau peintre mais acharné à trouver une qualité de lumière . La technique est extremement difficile, une erreur de couleur ne pardonne pas. Il suit des formations régulières auprès des "grands pastellistes" qu'il admire et sait en parler admirablement.

Je vous parlerai des autres "compagnons d'exposition" dans un prochain article...